Mon cher jpspock, je suis sincèrement navré de t'avoir contrarié et sache que je ne m'en prenais nullement à toi.
Mon intervention concernant l'alcoolisme musical était peut-être trop osée, j'en conviens... mais ne le prends pas pour toi
Oui, je suis très intéressé d'en savoir plus !
Ma question se tournait vers les enceintes car là, on pourrait y trouver un phénomène physique (assouplissement des éléments d'un baffle) et non électrique.
Concernant le câblage des enceintes, il est évident que certains sont nettement meilleurs que d'autres (diamètre, torsade, nombre de brins, etc..) MAIS je ris lorsque j'entends qu'il faut le passage de XX milliards d'électrons pour qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes.
Et ce n'est pas parce que je ris, que ce n'est pas une réalité.
J'aimerais alors avoir une explication cartésienne à ceci.
Après, il y a les amplis à tubes/lampes.
Là, je n'y connais rien du tout et je ne nierai pas tes dires. Un tube a peut-être besoin d'un certain nombre d'heures de vol pour stabiliser sa température ou son rendement.
Je ne pense par contre pas qu'il en soit de même de composantes électroniques.
Bref, pour en revenir au point de départ :
Concernant les enceinte, les matériaux ne sont-ils pas suffisamment souples à leur sortie d'usine ?
Et s'il faut fatiguer la matière pour qu'elle s'assouplisse, pourquoi le phénomène s'arrêterait-il juste quand le son est bon ?
Pourquoi la matière 'sait' qu'elle doit cesser de se ramollir à partir d'un moment précis, mais surtout, ne pas reprendre sa rigidité originale ?
Merci