
Le poète est mort... Après Bleu Pétrole, j'ai croisé cet ultime live de la dernière tournée. Que c'est beau : Vénus, La nuit je mens, Osez Joséphine, Madame rêve, Vertige de l'amour,... et d'autres. Même si je préfère les versions studio car l'orchestration me semble moins fouillée que sur ce live, même si Bashung hier "le maudit", avant hier "le fini", celui auquel les maisons de disque ne croyaient plus. Durant toute la deuxième partie de sa carrière, il a brillé et s'est illustré par une créativité qui m'a toujours donné la conviction qu'il apportait un plus. Souvenir, hommage, que sais-je. Ce double album, je l'aime.