http://good-music-guide.com/articles/children.htm
Vous avez tous ici de bons systèmes audio, qui peuvent rendre la musique enregistrée intéressante [pour les autres: utilisez les moyens du bord].
Vous avez peut-être des enfants? (pour certains, des petits-enfants). C'est quelque chose qui doit se partager physiquement, en présentiel, une fois la parenthèse COVID refermée. Et qui favorise les échanges inter-générationnels. De petites sessions d'écoute privilégiée, en mode déconnecté, sur supports physiques (pas de tablette: le gosse s'y agrippera pour y jouer à Candy Crush au lieu d'écouter).
Ce qui se transmet, on appelle ça la culture.
Ce qui ne se transmet pas, disparaît.
Orfeo
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NB: les liens de ce site pointent tous vers Amazon, à proscrire (Richard Stallman, ex-MIT, intiateur de l'open source ou logiciel libre: Reasons not to buy from Amazon).
Où donc acheter ses disques?
En Belgique, 2 temples (et une chapelle) incontournables
Bruxelles
- temple incontournable: La Boîte à Musique
- chapelle ixelloise hautement recommandable: Dédicaces (vinyles aussi; fait aussi libraire, et même BD - le tout, très qualitatif - pas de site Web!)
(NB: je n'ai aucun accord, d'aucune sorte avec ces points de vente !)
"Vous avez dit... acheter des disques?" À méditer: The Importance Of Owning Media:
nos titres chéris disparaissent/peuvent disparaître de Quobuz, du jour au lendemain sans préavis.
De plus,
1. aucune plate-forme de streaming n'est rentable. Aucune. Donc ce business-model finira par fatiguer les investisseurs, qui tireront la prise tôt ou tard.
2. pour la musique classique (sujet ici), très/trop peu d'interprétations différentes d'une même oeuvre dans les silos (et les meilleures sont parfois absentes). Normal: stocker p.ex 8 interprétations différentes pour UNE même oeuvre multiplie dans ce cas le coût du stockage par 8 !
1&2 => la musique classique n'a rien à attendre de ce type de modèle, me semble-t-il (je veux dire: streaming - acheter de la musique sous forme de fichiers et les héberger chez soi est autre chose, et implique d'ailleurs la charge de la maintenance, du backup, etc - alors qu'un CD physique est un backup de facto, fourni par le label, qu'on peut dématérialiser chez soi par après, si souhaité; avec en plus une notice qui de fait est toujours là où elle doit se trouver, càd sous la main, sur le support de lecture le plus confortable, le papier).